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L’exercice SPARS Pandemic 2025-2028: la répétition du covid, du « vaccin » et de la propagande

La gestion « sanitaire » est aujourd’hui menée sous le prisme du sécuritaire. Depuis 2001, des exercices et plans « pandémie » se sont multipliés et aujourd’hui au premier rhume de pangolin des pays sont bloqués, les libertés détruites, les populations prises pour des cobayes. Axé sur la propagande, un de ces exercices, « SPARS Pandemic 2025-2028 », est riche d’enseignements sur la gestion lamentable de la communication « covid ».

Pour davantage de détails sur les plans et exercices « pandémie » depuis plus de 20 ans, qui mélangent santé publique et bioterrorisme avec des mesures disproportionnées à la clé, je renvoie vers cet article plus complet sur le blog DondeVamos. Mais nous allons faire un focus sur un de ces exercices, organisé en 2017 par Bill Gates et dont le scénario très similaire à ce qu’on connaît avec le covid laisse entendre qu’aucun protocole n’est prévu après l’épisode des ravages des « vaccins » développés à la hâte. Jusqu’à la prochaine épidémie?

3 ans de « vagues » de coronavirus

En octobre 2017 Gates a organisé avec un de ses principaux partenaires le Johns Hopkins center un exercice SPARS Pandemic sur une épidémie de coronavirus apparue aux Etats-Unis et qui dure 3 ans. Très axé sur les aspects « communication », cet exercice est intéressant parce que le scénario, décrit en différentes phases, ressemble beaucoup aux phases de la propagande covid.

Il a été organisé en présence de Luciana Borio vice-présidente d’In-Q-Tel cette société satellite de la CIA qui investit dans les nouvelles technologies, Joseph Buccina d’In-Q-Tel et directeur de l’Intelligence Community Support, Walter Orenstein ex haut fonctionnaire de la Santé passé à la fondation Gates…

L’exercice « Spars Pandemic 2025-2028 – a futuristic scenario for public health risk communication » (Un scénario futuriste pour la communication de santé publique) a été préparé par le centre Johns Hopkins pour préparer la propagande sur les réseaux sociaux en particulier. Il tablait sur un coronavirus apparu dans le Minnesota, dont les « vagues » se succèdent pendant 3 ans.

Monica Schoch-Spana, anthropologue au centre Johns Hopkins, qui a dirigé l’exercice, a aussi été très active pour le covid, utilisant ses connaissances en sciences sociales pour donner des « recommandations exploitables pour les décideurs ». En principe, on fait des sciences humaines et sociales pour résoudre les problèmes sociétaux, pas pour les créer.

Schoch-Spana est même « co-chercheur principal pour CommuniVax, une coalition nationale de recherche ethnographique » pour faire injecter les « communautés de couleur » qui ont été particulièrement ciblées pour les « vaccins » covid, aussi bien aux Etats-Unis qu’en France. Elle est aussi au sous-comité de la sécurité intérieure du conseil des conseillers scientifiques de l’Agence américaine de protection de l’environnement, très impliquée aussi dans le financement de la recherche de nouveaux virus et le risque « pandémique ».

On note également qu’en mars 2022 elle a participé à un atelier de l’Académie des sciences US intitulé « Construire la confiance du public dans la science de la réponse et la préparation aux urgences de santé publique« . Les réflexions ont tourné en gros autour de comment faire en sorte que « le public » adhère à l’hystérie pandémique. Au passage, cette hystérie devient une « science », construite ces dernières années à coups de milliards et de modélisations hasardeuses.

Un autre type du Johns Hpkins qui a préparé l’exercice, Matthew P. Shearer, a aussi contribué à l’organisation des scénarios Clade X et Event 201.

Le scénario présente un « futur possible en 2025 », dans un monde où l’accès à l’information n’est « pas bridé », où la société est fragmentée et où les Etats défendent des vues sur le monde différentes. L’objectif est de montrer « les dilemmes de communication concernant les contre-mesures médicales (MCM) qui pourraient vraisemblablement émerger dans un avenir pas si lointain ».  Les MCM sont les privations de liberté (interdiction de se déplacer, de manifester, quarantaines, couvre-feu, laissez-passer « sanitaires »…) et bien-sûr les injections de masse.

Selon les 89 pages de scénario, un virus émerge à la mi octobre, fait deux morts revenus des Philippines récemment, puis après l’avoir pris pour la grippe saisonnière on découvre que c’est un coronavirus[8] qui a 7 à 10 jours d’incubation. Au début les gens ne s’inquiètent pas malgré le taux de létalité annoncé par le CDC est à 14-15% et même 50% pour les plus de 64 ans. Mais –oh surprise- on nous explique –toujours dans ce scénario- que « Plus tard au cours de l’épidémie SPARS, des données comprenant les estimations des cas bénins de SPARS ont indiqué un taux de létalité de seulement 0,6 %« . C’est aussi ce qu’on a vu avec le covid: les prévision exagérées sont venues progressivement au réalisme, et le taux de létalité du covid est estimé à 0,035% des personnes « infectées » au Royaume-Uni.

Le scénario dit aussi que les enfants, femmes enceintes, personnes avec des maladies respiratoires avaient beaucoup plus de risques de décès. A ce stade de début de « pandémie », les participants ont donc envisagé quoi raconter quand on n’a aucune donnée mais qu’on a l’intention de mettre en place un plan pandémie, comment les messages d’autoprotection type gestes « barrières » et autres délires peuvent rassurer une population effrayée par les médias.

A l’étape suivante du scénario, avec l’alerte « pandémie » de l’OMS fin novembre, on n’a toujours pas de traitement autorisé parce qu’on « manque de données ». Il y a quand-même un candidat, appelé Kalocivir, développé pour le MERS qu’on va autoriser rapidos et tenter de pousser pour l’autoriser début janvier 2026. Ce qui n’est pas sans rappeler l’affaire du Remdesivir, qui a fini en eau de boudin.

On ne cherche pas à repositionner des antivirus déjà connus et on distribue le Kalocivir, d’ailleurs on sent bien que le scénario fait tout pour que la seule solution soit in fine la « vaccination ». Bref, à ce stade la communication doit gérer son propre manque de transparence sur les traitements possibles et probables.

Au niveau de l’opinion c’est la cacophonie : certains voudraient qu’on donne le Kalocivir préventivement à toute la population, d’autres s’inquiètent des effets secondaires. Car hélas, le CDC n’a pu annoncer les bons résultats du produit qu’après 3 mois d’utilisation dans la population, et entre temps les réseaux sociaux se sont emballés.

Fin janvier le virus touche l’Afrique et fait des ravages, comme c’était prévu pour le covid mais ce n’est arrivé puisqu’en Afrique on a utilisé els traitements existants. Le CDC annonce qu’en fait la létalité n’est que de 1% mais tout le monde d’en fout, la peur s’installe. Mais pas partout : de « petits groupes » considèrent « que des remèdes naturels comme l’ail et les vitamines seraient plus efficaces pour traiter SPARS qu’un médicament « non testé » », et les tribus de natifs qui n’étaient pas motivées non plus font l’objet d’une campagne de propagande spécifique avec des relais communautaires.

Un « mouvement anti Kalocivir » se structure au cours de l’étape suivante, et les effets indésirables commencent à faire jaser en février 2026, le summum étant la vidéo d’un enfant de 3 ans en train de vomir son Kalocivir à l’hôpital. On voit apparaître le #NoKalocivir partout et la naissance d’un groupe ZapQ, les autorités sont dépassées même si « La FDA et d’autres agences gouvernementales ont rapidement tenté de rappeler au public que la corrélation ne signifie par causalité et que les vomissements n’étaient pas un effet secondaire connu de Kalocivir« .

Le gouvernement doit mettre en place une cellule de réponse en temps réel aux infos des réseaux sociaux, pour diffuser des contre-messages sur les mêmes canaux. 

Haro sur les réseaux sociaux

Etape suivante : Après le bide du Kalocivir, un autre traitement le VMax est autorisé en urgence en Europe et au Royaume-Uni, mais les responsables US misent déjà sur un nouveau « vaccin ». A ce moment l’épidémie est en baisse et les débats font rage sur les réseaux sociaux, ce qui dérange beaucoup les participants.

En mai 2026 l’opinion publique commence à passer à autre chose et le CDC annonce désormais un taux de létalité de 0,6%. Et là horreur : « Combinée avec des doutes persistants sur le Kalocivir et l’absence d’un vaccin SPARS disponible dans le commerce, la nouvelle estimation inférieure du taux de mortalité a conduit le public à devenir de plus en plus hostile à suivre les messages sur le SPARS« . En effet: s’il ne se passe rien pourquoi faire des gestes « barrière » et prendre des produits expérimentaux?

Du coup, « Afin de surmonter le désintérêt du public, le CDC et la FDA, de concert avec d’autres gouvernements agences et leurs experts en médias sociaux, ont commencé à développer une nouvelle campagne de messages de santé publique sur le SPARS, le Kalocivir et le vaccin à venir, Corovax.

Le but de cette campagne était de créer un ensemble de messages de base qui pourraient être partagés par tous les organismes de santé publique et gouvernementaux pendant les prochains mois, au cours desquels le vaccin SPARS serait introduit. Même si la maladie était moins mortelle qu’on ne le pensait initialement, elle restait coûteuse à traiter dans sa forme sévère et même les cas bénins ont eu des répercussions importantes sur la productivité économique dans tout le pays« .

La campagne de « vaccination » est donc lancée aux USA sur le mode d’un blockbuster hollywoodien, et la description du « scénario » n’est pas sans rappeler le rouleau compresseur pro vax qu’on a subi pour le covid :

« Fin mai, trois messages ont été validés par le comité inter-agences mis en place pour produire la campagne de messages : un sur la nature et les risques du SPARS, un sur l’efficacité du Kalocivir, et un sur la sortie anticipée du Corovax [le « vaccin »]. Ces messages ont été largement partagés via tous les comptes Internet et médias sociaux des agences gouvernementales concernées. Dans un effort pour atteindre davantage certains sous-groupes de population, les responsables de l’agence ont fait appel à des scientifiques bien connus, des célébrités et des représentants du gouvernement pour faire de courtes vidéos et des clips et, dans quelques cas, donner des interviews à de grands médias. Parmi les personnes choisies figuraient l’ancienne présidente Jaclyn Bennett; BZee, une star populaire du hip-hop ; et Paul Farmer, co-fondateur de Partners in Health et expert renommé en santé mondiale ».

Mais des informations critiques circulent sur des groupes privés avec des gens qui se font reporters. Au niveau « com », la grande question est de savoir quels médias sociaux utiliser pour « influencer le débat public », d’écouter les critiques sur l’équité de l’accès aux fameuses « MCM » en particulier le Kalocivir, sujet qui doit focaliser la discussion publique.

Les choses se gâtent ensuite sérieusement autour de juin 2026 : Laso Thérapeutics qui a financé les essais cliniques du Kalocivir, publie les résultats d’une étude randomisée selon lesquels finalement il n’est pas vraiment efficace: « Ces résultats amènent la FDA à conclure que tous les médicaments actuellement disponibles n’ont qu’une efficacité limitée dans le traitement du SPARS« .  C’est ce qui s’appelle jeter le bébé avec l’eau du bain: puisque notre favori est nul, aucun médicament ne doit être reconnu et on accélère le développement de « vaccins ».

Le « vaccin » prodigue va nous sauver

Du coup, les gens se disent que les médecins parlent sans savoir, que tout est dit à l’emporte-pièce et dénoncent la #FakeScience et les médias commencent à embrayer : « La tempête médiatique qui en a résulté a été particulièrement problématique, car Corovax devait sortir dans les semaines à venir« .

Vient ensuite l‘autorisation à la vente des 10 premiers millions de doses du Corovax, injectées en juillet aux groupes prioritaires. La production est poussée au maximum et on focalise les débats sur la priorisation des injections rendue plus facile par la numérisation des données de santé des Américains.

En parallèle, le mouvement anti vaccins se structure, se renforce et est très présent sur les réseaux sociaux et sur des groupes plus confidentiels. En plus, beaucoup de ces zantivax faisaient en sorte de « ne pas être exposés à la ‘propagande’ pro vaccins des sociétés pharmaceutiques, du gouvernement et des autorités de santé«  et ils s’informaient quasi uniquement en-dehors des circuits officiels. Ce qui pose aussi problème apparemment.

« En citant des phrases choisies du CDC, du NIH et d’autres agences gouvernementales, les partisans anti-vaccins ont commencé répandre le message que Corovax n’a pas été suffisamment testé et a des effets secondaires inconnus à long terme, et que l’immunité naturelle était un moyen plus efficace d’être protégé« , souligne le scénario, comme si tout cela était forcément faux alors que dans ledit scénario, le « vaccin » a été développé rapidement et n’a pas été testé sur le long ou moyen terme. Là on se dit qu’au lieu de chercher à débunker les mensonges officiels sur le covid, on aurait dû nous aussi reprendre l’argumentaire de l’exercice SPARS Pandemic.

Ces messages, également portés dans des manifestations, commencent à toucher les non « antivax », ce qui pose un problème pour la campagne de « vaccination ».

Et là, coup de chance : des études montrent des symptômes graves du covid pouvaient survenir chez les enfants, ce qui mobilise des parents pro vax au moment où il doit être injecté à toute la population. La propagande reprend avec des messages de personnalités, par exemple : « Paul Farmer, le célèbre expert en santé mondiale, a assuré le dialogue pour la première de ceux-ci, dans lesquels il a loué la sécurité et l’efficacité de Corovax et a souligné les dangers de SPARS. Son seul regret, a-t-il dit, était que le vaccin ne puisse pas encore être mis à la disposition de tous sur la planète« .

Mais le Japon le refuse et préfère développer son propre vaccin, ce qui fait encore gonfler le mouvement anti vax. Les « messages » des autorités n’ont aucun effet sur eux, mais en janvier 2027 on a assez de doses pour injecter tout le monde et la campagne a un impact mitigé avec certains groupes identifiés réfractaires.

Là, on remet le paquet sur la communication : « Pour atteindre les membres de ces groupes le gouvernement américain a ajouté une nouvelle campagne agressive de publicité à ses efforts en faveur de la vaccination. Cette campagne a fourni des publicités ciblées sur Internet pour individus lorsqu’ils effectuaient des recherches sur le Web ou visitaient des sites Web anti-vaccination. Si quelqu’un cherchait Google pour « effets secondaires de Corovax », par exemple, une publicité dans la barre latérale est apparue sur la page de résultats expliquer les avantages du vaccin. De même, si quelqu’un souhaitait voir une vidéo Youtube du vomissement de Kalocivir, ils devaient d’abord regarder soit un montage de photos illustrant les effets de SPARS ou un clip de l’explication de Paul Farmer sur les avantages de Corovax. Cette campagne publicitaire obligeait les responsables gouvernementaux à tirer parti des relations dans l’industrie des technologies de l’information, y compris les nombreuses entreprises impliquées dans les médias sociaux, mais l’impact en valait la peine.

Les taux de vaccination ont finalement commencé à augmenter dans tous les groupes démographiques ciblés, à l’exception des plus militants des anti-vaccins ».

Episode suivant : la pénurie d’antibiotiques, qui empêche de traiter les maladies saisonnières classiques, alors on utilise des médicaments périmés depuis 2021 dont la date de validité a été étendue de 2 ans en 2 ans. La pression monte dans la population, des leaders du mouvement antivax se mettent à défendre l’utilisation des antibiotiques périmés.

Le gouvernement se dit qu’il faut collecter les témoignages sympas sur les réseaux sociaux au sujet du Corovax et des antibiotiques périmés pour ses campagnes de propagande ce qui fait baisser l’opposition au Corovax de 23% aux celle aux antibiotiques périmés de 61%.

Le chapitre suivant s’intitule « recovery » et commence avec le sujet des « blessures vaccinales ». Du genre Creutzfeld Jacobs : « Au fil du temps et de plus en plus de personnes à travers les États-Unis ont été vaccinées, les allégations de des effets secondaires indésirables ont commencé à apparaître. Plusieurs parents ont affirmé que leurs enfants vivaient symptômes neurologiques similaires à ceux observés chez le bétail exposé au vaccin GMI ».

Mais la « vaccination » avance, malgré des plaintes pour les effets graves dont le document ne mentionne pas l’ampleur réelle ni les caractéristiques : « Un groupe de parents dont les enfants ont développé un retard mental à la suite d’une encéphalite suite à la vaccination Corovax a poursuivi le gouvernement fédéral, exigeant la suppression du bouclier de responsabilité protégeant les sociétés pharmaceutiques responsables du développement et de la fabrication de Corovax.

Un nombre croissant de plaignants a rapidement retiré sa plainte après avoir appris que le National Vaccine Injury Compensation Trust Fund (NVICTF) et une affectation d’urgence de fonds autorisée par le Congrès en vertu de la loi PREP existaient pour fournir un remboursement financier à ceux qui étaient lésés par le vaccin Corovax afin de couvrir les frais de santé et autres dépenses connexes. Étant donné la réaction positive à la réponse du gouvernement fédéral et le fait que la majorité des citoyens américains désireux de se faire vacciner avaient déjà été vaccinés, la publicité négative entourant les effets indésirables ont eu peu d’effet sur les taux de vaccination à l’échelle nationale« . Une réflexion bien cynique.

Et pendant que le gouvernement se met officiellement enfin à étudier les effets secondaires, ses efforts sont perturbés par une série d’études faites par des gens et des structures non contrôlés par le dispositif vaccino-sanitaire.

Quant à ceux qui espéraient toucher une indemnisation : « En raison de la persistance et des incertitudes sur les liens possibles entre la vaccination et les symptômes neurologiques déclarés, leur les demandes d’indemnisation ont été mises en attente indéfiniment, en attendant une analyse plus approfondie des données ». Autant dire que les victimes vont devoir s’accrocher surtout qu’aux Etats-Unis les indemnités correspondent aux dommages, pas comme ici où il s’agit de vagues aumônes arrachées au prix de procédures longues, fastidieuses et incertaines.

Il y en a même qui disent que le virus a été « créé délibérément et introduit dans la population par des compagnies pharmaceutiques » (non, quand-même pas ?) « ou qu’il avait échappé à un laboratoire gouvernemental testant secrètement des armes biologiques » (mais oui : qui ferait ça ?).

La conclusion de tout cela est la suivante : « La possibilité très réelle d’une future pandémie SPARS nécessite un engagement continu dans les programmes de vaccination ainsi qu’une communication précise, culturellement appropriée et opportune des agences de santé publique à travers la planète.

Alors que les expériences de communication de la pandémie SPARS de 2025-2028 offrent quelques exemples de la manière dont cette communication peut et doit se produire, elles identifient également les pratiques qui devraient être évitées, ou du moins modifiées, pour répondre aux futures urgences de santé publique« .

McKinsey a apparemment mal reçu le message.

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